En 1962, dans Profiles of the Future en 1962, l’écrivain Arthur C. Clarke énonce ce qu’on appelle couramment les Trois Lois de Clarke :
- « Quand un savant distingué mais vieillissant estime que quelque chose est possible, il a presque certainement raison, mais lorsqu’il déclare que quelque chose est impossible, il a très probablement tort. »
- « La seule façon de découvrir les limites du possible, c’est de s’aventurer un peu au-delà, dans l’impossible. »
- « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. »
En 1977, Isaac Asimov énonce un corollaire à la première lois de Clarke :
- « Si le public se rallie à une idée qui est dénoncée par les scientifiques respectables et sérieux, et soutient cette idée avec ferveur et émotion, les scientifiques respectables auront, après tout, raison. »
En 1991, Barry Gehm, cité par Gregory Benford dans Fondation en péril, énonce un corollaire à la troisième lois de Clarke :
- « N’importe quelle technologie discernable de la magie est insuffisamment avancée. »